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samuel klingenstierna

svagare än det andra vid samma brytande vinkel, så kunna två prismers av dessa ämnen brytande vinklar avpassas så, att om de verka mot varandra, färgspridningen upphäves, men en del av brytningen står kvar. Man har då ett akromatiskt prisma, som bryter ljuset utan att ett spektrum bildas.

Newton ansåg akromatismen omöjlig, och på hans auktoritet ansågos vidare undersökningar i denna fråga överflödiga, och saken ansågs avgjord.

Newton skriver:[1]

»J’ai trouvé de plus, que lorsque la lumière passe de l’air à travers differens milieux contigus refringents, comme à travers l’eau et le verre, et qu’elle repasse de là dans l’air, soit que les surfaces refringentes soient paralleles ou inclinées l’une à l’autre: j’ai trouvé, dis-je, que toutes les fois que cette lumière est redressée par des refractions contraires, de telle manière qu’elle sorte en lignes paralleles à celles selon lesquelles elles étoit tombée: elle reste en suite toûjours blanche: mais que si les rayons émergents sont inclinés aux incidents, la blancheur de la lumière émergente devient par degrés colorée dans les extremités, à mesure qu’elle s’éloigne du lieu de son émersion. C’est de quoi j’ai fait l’épreuve en rompant la lumière avec des prismes de verre enchassés dans un vase prismatique plein d’eau. Or les couleurs là prouvent que les rayons héterogènes sont divergés et separés les uns des autres par le moyens de leurs réfractions inégales, comme cela paroîtra plus amplement par ce qui suit. Et au contraire la blancheur permanente fait voir qu’à égales incidence des rayons, il n’y a point de telle separations des rayons émergents, ni par conséquent aucune inégalité dans leur refractions totales.»

Härur drager han bland annat följande konsekvens:

»Les exècs des sinus de refractions de différentes espèces de rayons par dessus leur commun sinus d’incidence, lorsque

  1. Traité D’Optique. Paris 1722, Liv. I. Part. II. Huitième expérience, p. 145.